Chélateurs naturels
La Chlorella a des fonctions chélatrices.
( conférence du Dr. Klinghart. )
Infusion de vitamine C.
Il y a quelques rapports, publiés dans des médias non-scientifiques
comme Queen (1991), que les personnes, suspectées
ayant une/des maladie(s) en relation avec l'amalgame, peuvent bénéficier d'administration
intraveineuse d'à peu près .075 g de vitamine C / kg par poids corporel (sic!)
durant quelques heures, spécialement durant (sic! - sur la chaise du dentiste)
la dépose des amalgames. Il semble qu'il y ait eu très peu de recherches
(publiées) sur le sujet. Un article (Dirks 1994)
déclare qu'il n'a pas été démontré que l'excrétion de mercure dans l'urine a
augmenté durant les 24h qui ont suivi l'absorbtion de
vitamine C comme décrit ci-dessus. Un article (Hall 1994) en provenance d'une conférence
a déclaré qu'il y a une, jusqu'à 100 plis (* = fold),
augmentation du mercure dans les selles, mais pas dans l'urine, après une telle
administration de vitamine C comme décrit ci-dessus.
Chélateurs, par exemple DMSA et DMPS.
Un "antidote" contre le mercure. Capture le mercure et le force à être excrété, de ce
fait abaissant la charge de mercure dans l'organisme. Pourrait causer des
effets secondaires non-désirés (Englund
1994). En situation aiguë, DMSA (méso-2,3-acide dimercaptosuccinique)
ou DMPS (dimercaptopropone-1-sulfonate) ont été utilisés avec succès pour sauver
des vies.
Elimine principalement le mercure facilement accessible (=extracellulaire et à l'extérieur du système nerveux central (SNC / CNS) de votre corps. Fonctionne bien, et est "à la fine pointe", pour les intoxications élevées et moyennes. Dans les maladies en relation avec l'amalgame ses effets positifs restent à être prouvés. Englund (1994) a adminsitré oralement 20 mg / kg de DMSA ou placebo durant 14 jours sur un total de 20 individus suspectant avoir une/des maladie(s) (non-allergique-) en relation avec l'amalgame.
Les membres de la "Swedish Association of
Dental Mercury Patients" parlent de la manière
suivante des effets du DMSA et DMPS.
"... Quelques patients se sentent beaucoup mieux, d'autres plus mal en
point, souvent seulement temporairement. Quelques-uns ont expérimenté des
effets négatifs durant longtemps..."
(Tandvardsskadeforbundet 1993).
Thérapie de la sueur.
Putman (1972) rapporte que si des travailleurs dans
les mines de mercure d'Almaden ont montré des signes d'intoxication au mercure
ils ont été traités par l'induction de sueur afin de faire sortir le mercure du
corps. Il y a, à notre connaissance, aucun rapport scientifique à propos de
l'efficacité d'une plus grande sudofaction comme
façon de traiter une intoxication au mercure. Mais Lovejoy
(1973) a trouvé des quantités considérables de mercure chez des travailleurs
dans une manufacture de chlorine,
les contrôles non-exposés ont 5-8 et 5-7 ug Hg/litre respectivement.
Lors de prise de bains chauds, Dr. Huggins aurait trouvé à la limite de l'eau, sur les bords de la baignoire, une bonne quantité de Hg. ("It's all in your head")